Le fabricant de distributeurs automatiques français maBaguette propose des machines conformes aux réglementations
Un fabricant de distributeurs automatiques répond à de nombreuses contraintes au premier rang desquelles se placent, naturellement, les exigences de ses prospects. Le client occulte souvent un environnement législatif prégnant. Dans cet article, le fabriquant de distributeurs automatiques maBaguette tenait à mettre en corrélation le succès de ses machines distributrices de baguettes pain avec la difficulté de concevoir un équipement répondant aux exigences légales. Notre idée : accompagner au plus près les artisans-boulangers désireux de rejoindre notre réseau afin de sécuriser leur investissement.
Un fabricant de distributeurs automatiques certifiés et conformes
maBaguette met tout son savoir-faire non seulement dans la conception de ses machines mais aussi dans l’accompagnement des projets d’acquisition de chacun. Nombreux sont celles et ceux en recherche d’informations sur son origine. Telle est l’autre utilité de cet article. maBaguette fabrique des distributeurs de baguettes de pain au service des artisans-boulangers. Ses machines sont conçues et assemblées dans les ateliers angevins (précisément à Tiercé – Maine-et-Loire) de la chaudronnerie industrielle Soud Ouest Métal : son dépositaire exclusif. Avant la mise en chantier de son premier modèle, maBaguette est partie à l’écoute des professionnels du pain. maBaguette a, de suite, opté pour la conception d’un outil simple, robuste, fiable, pouvant s’implanter partout, facile d’accès pour les boulangers, ne nécessitant aucun investissement lourd côté configuration de son accueil. Ses distributeurs ont fait l’objet d’une validation par un organisme agréé et possèdent tous une plaque de certification CE. Chaque installation est par ailleurs accompagnée d’une notice d’utilisation et d’un certificat de conformité. Des exceptions maBaguette !!! Autant d’arguments à l’origine, sans conteste, de son succès…
Réglementation de la distribution automatique
Un fabricant de distributeurs automatiques est tenu de respecter certaines normes de fabrication et plus encore différentes réglementations très souvent perçues comme drastiques alors que leur vocation intrinsèque demeure la protection du consommateur. Le législateur réglemente d’abord les produits distribués. Pour l’exemple, il est interdit, en France, de distribuer automatiquement de l’alcool ou du tabac. Le fabricant de distributeurs est ainsi soumis au respect de règles dont la plus évidente concerne l’emplacement de ses machines. Suivant le produit distribué, des déclarations doivent, encore, être réalisées auprès de multiples services étatiques et sanitaires. A ce propos, les organes publics sont très attachés à l’hygiène des appareils, notamment en vue de préserver le consommateur des agressions microbiennes. Accessibilité aux personnes à mobilité réduite comme préservation de l’espace public et notamment sécurisation routière sont d’autres facteurs déterminants. Certifications CE et normes ISO, entre autres, justifieront pour finir la présence ou non des machines sur le marché.
Avènement des machines automatiques
Le contexte légal, au demeurant contraignant, n’a pourtant pas sclérosé le développement plus que notable de la distribution automatique en France. Les modes de consommation évoluant, faciliter par tous les temps l’accessibilité aux produits courants est devenue le fer de lance de tout fabricant de distributeurs automatiques. Aujourd’hui, la distribution automatique n’est plus la chasse garder des boissons et autres sucreries mais concerne aussi, et les distributeurs maBaguette en témoignent, le pain. Et les marchés ne cessent de fleurir. On trouve dorénavant en campagne des distributeurs de pizzas. Le petit outillage domestique cherche sa place. On rencontre même aujourd’hui des distributeurs automatiques de viande. En filigrane, une question taraude la société : "La machine ne se substitue-t-elle pas à l’emploi ?" Il est peut-être plus sain de réfléchir en termes d’extensions de chalandise, voire de stabilisation ou mutualisation de l’existant afin de préserver, notamment, le commerce en milieu rural.